Je signale bien que ne l’ayant pas encore lu
le nouvel ouvrage de Typhaine Garnier. Une jeune poète dont le premier livre, Massacres,
chez le même lurlure m’avait comme on le verra si l’on se reporte à la note que
je lui avais à l’époque consacrée, pas mal intéressé. Ici l’auteur semble
suivre un chemin proche quoique inverse, s’ingéniant à confiturer/reconfigurer à sa façon
toujours terriblement inventive et drôle, à tous les sens et même un peu fripon
du terme, la réalité crue et désespérément banale de sa propre existence. À bonne température (102 à 103 °) montée.
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