LES DÉCOUVREURS / éditions LD

Chacun à notre place nous sommes les acteurs de la vie littéraire de notre époque. En faisant lire, découvrir, des œuvres ignorées des circuits médiatiques, ne représentant qu’une part ridicule des échanges économiques, nous manifestons notre volonté de ne pas nous voir dicter nos goûts, nos pensées, nos vies, par les puissances matérielles qui tendent à régir le plus grand nombre. Et nous contribuons à maintenir vivante une littérature qui autrement manquera à tous demain.

Pages

  • ACCUEIL
  • QUI SOMMES-NOUS ?
  • CHOIX DE POÈMES DE GEORGES GUILLAIN.
  • CHOIX DE CITATIONS
  • DOSSIERS À TÉLÉCHARGER
  • CONTACT

dimanche 25 mars 2018

REFAIRE PASSER LA MORT DU CÔTÉ DE LA VIE. UN BOUQUET POUR LES MORTS. ENTRETIEN AVEC GEORGES GUILLAIN.


Quelle est l’origine profonde de ton livre ?

Qui ne sait qu’en matière d’art, et la poésie est avant tout un art, l’œuvre est plus souvent le fruit d’une poussée, d’un entraînement inconscient de toute la pensée sensible qu’une opération préméditée dont l’esprit aura dès le départ pesé  les principaux aboutissants.

Un Bouquet pour les morts est de ces livres dont le sens ne m’est apparu que bien tard. Et qui réellement s’est fait, pourrais-je dire, de lui-même, entendant par-là que c’est en réponse aux progressives et multiples sollicitations des divers éléments qui lentement s’y sont vus rassemblés, qu’il s’est trouvé prendre figure. 

En cela ce livre est un livre vivant. 

Oui mais dans l’adresse finale au lecteur tu le relies clairement à tous les disparus de la Grande Guerre. Et la plupart des poèmes qui composent ton Bouquet sont dédiés à des soldats de diverses origines qui ont trouvé la mort à l’occasion de ce conflit. Tu dis aussi dans cette adresse qu’ils sont comme une réponse à l’invitation que tu as découverte sur le fût d’une colonne élevée à la mémoire des soldats russes venus combattre pour la France, de leur offrir « quelques fleurs ».


C’est vrai. Mais si le livre se présente effectivement comme une offrande aux morts de la première guerre mondiale et évoque certains des lieux où ils reposent – vallée de la Somme, plaine de l’Aisne, cratère de Lochnagar, Ferme de Navarin, Main de Massiges, plateau de Californie, cimetière de Craonnelle … -  il se présente de toute évidence beaucoup moins comme le rappel des horreurs dont ces paysages furent en leur temps le théâtre que l’évocation de la relation affective, charnelle, que les disparus dont il fait état auraient pu entretenir heureusement, pleinement, avec le monde si la sauvagerie de la guerre n’avait cruellement  mis un terme à leur espérance légitime de vivre. 

Car c’est bien de l’intérieur de ma vie propre, de la relation particulière que j’entretiens avec ce qui m’entoure, m’émeut et me nourrit que cet ouvrage, peut-être, approche quelque chose de l’existence de ceux que je fais figurer dans ses pages.

Lire la suite ...
Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 15:08 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest
Labels: AGIR CONTRE LES BARBARIES, APOLLINAIRE, CENDRARS, GUERRE 14, PAYSAGE, POESIE CONTEMPORAINE, POUVOIRS ET LIMITES DE LA REPRESENTATION

vendredi 16 mars 2018

PAROLE ET BARBARIE. UN HOMME AVEC UNE MOUCHE DANS LA BOUCHE DU POÈTE IRAKIEN ALI THAREB.


On s’étonnera peut-être de voir commencer une note de lecture portant sur le recueil d’un jeune poète irakien par l’évocation d’une photographie représentant l’exécution en janvier 43 dans la ville de Bosanska Krupa, en Bosnie, d’une résistante yougoslave de 17 ans, Lepa Svetozara Radić, coupable d’avoir tiré sur des soldats allemands.


Cette image sidérante que le hasard vient de me mettre sous les yeux, interroge puissamment sur notre capacité à réagir face aux atrocités dont, pour les plus chanceux d’entre nous, nous ne sommes que les témoins lointains. Et sur la possibilité surtout que nous avons de leur donner sens par la seule vertu de la parole.

Lire la suite ...
Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 09:59 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest
Labels: AGIR CONTRE LES BARBARIES, ENGAGEMENT, POESIE CONTEMPORAINE

lundi 12 mars 2018

VIE ET MORT D'UN PERSONNAGE. ÉCRIRE, UN CARACTÈRE DE CHRISTIANE VESCHAMBRE AUX ÉDITIONS ISABELLE SAUVAGE.



J’aime et je l’ai dit à de nombreuses reprises tout ce qu’écrit Christiane Veschambre. J’aime aussi sa personne. Et je ne saurais trop recommander à ceux qui ne l’auraient pas encore vraiment fait, de prendre le temps de lire Basse langue, livre qui portant en apparence sur la lecture, plonge en fait assez douloureusement au coeur de toute l’expérience intime que peut avoir une femme de ce qui l’a mise au monde non comme structure close délimitée par un moi connaissable, mais comme puissance d’accueil, toute nourrie de ses manques et de ses incertitudes profondes.

Lire la suite ...
Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 15:29 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest
Labels: ÊTRE, IDENTITE, INCERTITUDE, LECTURE, OUVERTURE, SENS, SORTIR DU NOIR

samedi 10 mars 2018

PRENDRE LE LARGE : CARNET SANS BORD DE LILI FRIKH À LA RUMEUR LIBRE.





«Il faudra que je parle d’écrire… Et que ce soit parler pas écrire… Que j’avoue… Et j’avoue… Être peu  sensible aux formes de l’écrit… Être prise sans filet dans le mouvement de l’écriture. Cette différence que je sens entre les deux… Elle m’écarte… Elle me sépare… Elle me fait mal au milieu… Mais les mots sont sans abri. Ils n’ont pas de domicile fixe. Je les couche sous la couverture comme des chiens affamés. « Couchez… Allez… Couchez là… Ici… Non là… Voilà… Pas bouger… »
Mais ils ne restent pas sur le papier. Ils prennent le large
Écrire est déployé sans forme attachée
Écrire est une langue de grand départ
Aucune ligne d’arrivée
Posted at sea
16 : 27 »

Posted at sea, à différentes heures du jour, la petite centaine de proses courtes qui composent le Carnet sans bord que Lili Frikh vient de donner à la rumeur libre, ne cherche pas à consigner l’éphémère et superficielle matérialité des évènements par lesquels se raconte l’anecdote plus ou moins pittoresque, plus ou moins idéalisée, bien choisie, de ce qui fait d’ordinaire à nos yeux l’existence : c’est en profondeur toujours qu’y creuse la parole, empruntant à la plasticité des vagues, à leur inlassable et puissant mouvement son exigeante tonicité. Car c’est bien à une intime nécessité que répond d’abord tout ce livre. Qui affirme et réaffirme la volonté de son auteur de ne pas se laisser enfermer dans les mots, dans les phrases. Non plus que dans les choses. Et s’emploie tout entière à s’offrir corps et âme à la vie qui déborde.


Lire la suite ...
Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 16:13 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest
Labels: ENERGIE, ÊTRE, LIBERTE, LYRISME, MUSIQUE ET POESIE, VIVANT, VOIX

jeudi 15 février 2018

DÉCHIRER NOTRE FILET MENTAL. GALERIE MONTAGNAISE DE DIDIER BOURDA.



À quoi se mesure l’importance ou la nécessité d’une œuvre ? Et d’ailleurs à quoi bon mesurer ? Étalonner. Classer. Toujours hiérarchiser. Difficile quand même de négliger le fait qu’il existe des œuvres qui par l’ouverture de l’intelligence sensible qui préside à leur écriture, excèdent, par la profondeur des questions et l’importance des éléments qu’elles convoquent, l’attention  toute relative que méritent la plupart des petites combinaisons poético-narcissiques par lesquelles certains parviennent à faire malgré tout illusion.


Galerie montagnaise, du béarnais Didier Bourda, est justement de ces livres majeurs qui, sans renoncer en rien à la nécessité de dire ses quatre vérités à notre triste époque, présente aussi la féroce ambition de redonner à la poésie quelque chose de la magie profonde, de la nécessité vitale, du lien originel aussi, qu’au sein de sociétés depuis longtemps disparues, elle entretenait avec le monde.  

Lire la suite ...
Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 09:47 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest
Labels: AGIR CONTRE LES BARBARIES, COMPATRIOTES DE L'AILLEURS, ENGAGEMENT, ETRANGERS, LANGUES, OUVERTURE, POESIE CONTEMPORAINE, SPIRITUALITE, VIVANT

dimanche 4 février 2018

UN GRAND POÈME DE LA VILLE. KALA GHODA DE ARUN KOLATKAR (1931-2004)



Je reviens aujourd'hui, suite à diverses rencontres qui m'ont amené à l'évoquer, sur le superbe grand livre sous-titré Poèmes de Bombay, du poète indien disparu en 2004, Arun Kolatkar.
Une gamine, "un polichinelle dans le tiroir depuis, à vue de nez, sept mois" "cavale comme une gazelle", un jerrycan à la main à la poursuite de la carriole d'un vendeur de kérosène. À l'heure du petit déjeuner, un bossu cul de jatte bat, sur son "skateboard maison" des records de vitesse, "s'envole sur les ralentisseurs" pour coiffer au poteau un "vieux paralytique en fauteuil roulant fabriqué avec deux vélos cannibalisés". "Tel un Démosthène frappadingue", un ivrogne qui se réveille tonne à l'adresse de la ville entière qu'elle n'est qu'un "colossal tas de merde". "Les doigts funambules" d'un aveugle "tressent un lit de corde" qui "se tourne et se retourne dans ses bras" comme s'il apprenait à danser. Tandis qu'un peu plus loin, "tchac-a-boum-tchac-tchac tchac-a-bim-boum-bam" passe la fanfare des lépreux, le Bombay Lepers'Band. On le voit. C'est une sorte de Cour des Miracles que met en scène le poète indien Arun Kolatkar dans ces Poèmes de Bombay que les éditions Gallimard nous ont fait découvrir grâce au talent de ces deux traducteurs que sont Pascal Aquien et Laetitia Zecchini. Toutefois cette Cour des Miracles que constitue la population du quartier de Kala Ghoda que notre auteur a observé des années durant, de sa table du Wayside Inn qui lui offrait une vue dégagée sur ce carrefour fréquenté au centre de la métropole indienne, n'a rien de l'espace sordide, inquiétant, malfaisant que le roman de Victor Hugo, Notre Dame de Paris, en quête de pittoresque d'époque, a popularisé. (1)

Lire la suite ...
Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 17:05 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest
Labels: AILLEURS, ENERGIE, POESIE CONTEMPORAINE, SORTIR DU NOIR, VIVANT, VOIX

samedi 6 janvier 2018

UN BEAU LIVRE : JARDINS EN TEMPS DE GUERRE DE TEODOR CERIĆ.



J’aime les jardins. Je les aime dans leur réalité. Leur présence diverse. Leur devenir aussi. Comme dans l’idée qu’ils m’aident depuis longtemps à me faire du monde. C’est pourquoi, Jardins en temps de guerre, le petit livre de Marco Martella dont j’avais déjà bien apprécié Le jardin perdu, publié en 2011, dans la même collection, «un endroit où aller », des éditions Actes Sud, est de ces livres précieux capables de conforter ce qui, pour moi, constitue bien plus qu’une passion : une amitié profonde et nécessaire, équilibrante, nourrissante, respectueuse aussi des différences et des singularités. En bref, ce que les anciens grecs appelaient « philia ».


Ce n’est pas que le livre de Marco Martella déborde d’aperçus ingénieux, ou renouvelle de façon décisive l’approche esthétique, philosophique, historique ou sociologique du jardin. Non. Mais il aborde son sujet à travers une approche sensible, personnelle, éprouvée, recourant à la fiction d’un jeune auteur serbo-croate, arraché à son pays par la guerre, pour mieux nous entraîner sur les routes d’Europe, à la découverte de divers jardins témoignant de la diversité des formules par lesquelles leur inventeur ou leur propriétaire s’est efforcé comme il dit, d’offrir « à l’individu un refuge où le fracas de l’histoire, qui gronde au-delà de leurs murs d’enceinte, ne parvient que comme un écho lointain. »

Lire la suite ...
Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 08:47 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest
Labels: AGIR CONTRE LES BARBARIES, ÊTRE, JARDIN, SENS, VIVANT

lundi 1 janvier 2018

POUR 2018 !


Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 10:36 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest

lundi 11 décembre 2017

LA GUERRE REND-ELLE FOU ? LES SOLDATS DE LA HONTE DE JEAN-YVES LE NAOURS.



C'est un des multiples avantages des rencontres que nous organisons que de relancer à chaque fois notre curiosité. Pour les livres. Certes. Mais aussi au gré des conversations, des échanges, pour des lieux. Des époques. Des personnes. Des évènements. Des problèmes...


Une de nos rencontres avec Gisèle Bienne, autour de la Ferme de Navarin, a ainsi été l'occasion de nous souvenir avec elle de bien des lectures que nous avons faites autour de la première guerre mondiale - nous en ferons peut-être un jour la liste - mais aussi de nous décider à nous intéresser de plus près à cette question des "mutilés mentaux" qu'un ancien article relatif au Cimetière des fous de Cadillac (Gironde) nous avait fait, en son temps, découvrir.


Lire la suite ...
Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 15:33 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest
Labels: AGIR CONTRE LES BARBARIES, COLERE, ELITISME, GUERRE 14, SORTIR DU NOIR, TÊTES MOLLES

samedi 9 décembre 2017

RECOMMANDATION. KASPAR DE PIERRE DE LAURE GAUTHIER À LA LETTRE VOLÉE.



Comment le dire : insignifiants de plus en plus m’apparaissent ces petits poèmes qu’on peut lire aujourd’hui publiés un peu partout, sans le secours du livre. Non du livre imprimé, de l’objet d’encre et de papier qu’on désigne le plus souvent par ce terme. Mais de cet opérateur de pensée, de ce dispositif supérieur de signification et d’intelligence sensible qui organise les perspectives, relie en profondeur et me paraît seul propre à mériter le nom d’œuvre.


Non, bien entendu, que tel petit poème ne puisse charmer par tel ou tel bonheur d’expression, la justesse par laquelle il s’empare d’un moment ou d’un fragment de réalité et parvient ainsi à s’imprimer dans la mémoire. Et nous disposons tous – et moi pas moins qu’un autre - de ce trésor de morceaux qu’à l’occasion nous nous récitons à nous-mêmes et dans lequel, même si c’est devenu un cliché de le dire, certains, dans les conditions les plus dramatiques puisent pour donner sens à leur souffrance et trouver le courage ou la volonté d’y survivre. 


Mais la littérature me semble aujourd’hui avoir bien changé. Nous ne sommes plus au temps des recueils. Difficile de plus en plus d’isoler radicalement la page de l’ensemble  dans lequel elle a place. C’est en terme de livre qu’aujourd’hui paraissent les œuvres les plus intéressantes. Pas sous forme de morceaux choisis. Ce qui rend aussi du coup la critique plus difficile. Aux regards habitués, comme le veut notre époque, aux feuilletages. Au papillonnage. Aux gros titres. À la pénétration illusoire et rapide.


Le livre de Laure Gauthier, kaspar de pierre, paru à La Lettre volée, est précisément de ceux dont le dispositif et la cohérence d’ensemble importent plus que le détail particulier. Ou pour le dire autrement est un livre dans lequel le détail particulier ne prend totalement sens qu’à la lumière de l’ensemble. Non d’ailleurs que tout à la fin nous y paraisse d’une clarté parfaite. S’attachant à y évoquer non la figure mais l’expérience intérieure de ce Kaspar Hauser que nous ne connaissons le plus souvent qu’à travers l’image de « calme orphelin » rejeté par la vie, qu’en a donnée Verlaine, Laure Gauthier, à la différence de ceux qui se sont ingéniés à résoudre le bloc d’énigmes que fut l’existence et la destinée de cet étrange personnage, ramènerait plutôt ce dernier à sa radicale opacité, son essentielle différence qui n’est peut-être d’ailleurs à bien y penser que celle, moins visible et moins exacerbée par les circonstances certes, de chacun d’entre nous. 

Lire la suite ...
Posted by Georges GUILLAIN / LES DÉCOUVREURS / éditions LD at 12:00 Aucun commentaire:
Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur XPartager sur FacebookPartager sur Pinterest
Labels: AGIR CONTRE LES BARBARIES, COLERE, ETRANGERS, ÊTRE, MUSIQUE ET POESIE, POESIE CONTEMPORAINE, POUVOIRS ET LIMITES DE LA REPRESENTATION, SENS, SOLITUDE, SORTIR DU NOIR, VIVANT, VOIX
Articles plus récents Articles plus anciens Accueil
Inscription à : Articles (Atom)

Article épinglé

REDECOUVRIR LIBREMENT COMPRIS DANS LE PAYSAGE.

  Paru en 2010 chez Potentille , un de ces éditeurs dont on ne dira jamais assez ce qu’on leur doit pour continuer, envers et contre...

S’ABONNER

Articles
Atom
Articles
Commentaires
Atom
Commentaires

RECHERCHER DANS CE BLOG

Articles les plus consultés

  • À PROPOS DES COUVERTURES CONTEMPORAINES DE JOËL BASTARD CHEZ GALLIMARD.
       J’hésitais ce matin entre parler d’un tableau d’Ingres dans lequel étrangement je crois voir figurer un Magritte [1] et me casser les de...
  • TROIS RECOMMANDATIONS. POUR NOUS AIDER à EXISTER.
      Tant de choses en nous qui, venues de l’infinité de mondes parmi lesquels nous nous mouvons, nous travaillent, façonnent, polissent. Per...
  • LES NOUVEAUX PARTAGES. NAVIS ONERARIA, SUITE D'UNE VISITE A NARBO VIA.
    CLIQUER POUR OUVRIR LE PDF   Intituler une courte suite de poèmes, inspirée par la visite du beau Musée archéologique ouvert en mai 2021 à N...
  • MIETTES À PROPOS DE M.E.R.E. RÊVERIE-AUSCHWITZ, DE JULIEN BOUTONNIER, AU DERNIER TÉLÉGRAMME.
    Seules les pulsations du coeur retenaient ·Reitz désormais. Son organe battait encore bien qu’il n’y eût plus aucune nécessité d’alimenter...
  • VIVRE, ÉCRIRE, AVEC LA PEINTURE : À PROPOS DE DEUX LIVRES RÉCENTS DE JAMES SACRÉ ET DE MYRIAM ECK.
      Accompagner avec ses mots l’œuvre d’un peintre est une des tentations parmi les plus fréquentes du travail poétique. Inversement les pei...
  • L’ÂME DU JARDIN PAR FLORA GUILLAIN, PAYSAGISTE.
    LIRE LE LIVRET AVEC CALAMEO   Depuis longtemps nous apprécions les jardiniers. Les paysagistes . Ce début d’année nous paraît du coup pro...
  • RENCONTRE AVEC AURELIE FOGLIA ET GREGOIRE DAMON.
    C’était hier à l’invitation du Channel de Calais et de la librairie Actes Sud. Dans le cadre des Périphéries du Marché de la Poésie. Avec ...
  • POÉSIE, CINÉMA, ROMAN. LIRE LE DOUBLE ÉTÉ D’ARIANE DREYFUS AUX ÉDITIONS DU CASTOR ASTRAL.
      Comme l’écrit le poète Stéphane Bouquet dans une rapide note de lecture publiée dans EAN ( En Attendant Nadeau ) « ce n’est pas la premi...
  • CAHIER D’EXTRAITS PRIX DES DÉCOUVREURS 2021-22. ODES DE SHARON OLDS DANS UNE TRADUCTION DE GUILLAUME CONDELLO. AU CORRIDOR BLEU.
      cliquer pour accéder au PDF téléchargeable Troisième Cahier d’accompagnement pour le Prix des Découvreurs 2021-22, le document aujourd’h...
  • POÉSIE/PARTAGES N° 10. POÈMES CHOISIS DE CAMILLE LOIVIER ACCOMPAGNÉS DE PHOTOGRAPHIES D’ODILE ROBINOT.
    Cliquer pour ouvrir le Cahier téléchargeable Que ce soit avec les patients des hôpitaux, les éléments de la nature ( Cardamine , Joubarbe …)...

LIRE DES POEMES DE GEORGES GUILLAIN

LIRE DES POEMES DE GEORGES GUILLAIN

IMPRIMER PDF

OUVERTURES

OUVERTURES

LIBELLÉS

POESIE CONTEMPORAINE AGIR CONTRE LES BARBARIES ANTHOLOGIE DÉCOUVREURS PEINTURE VIVANT OUVERTURE SORTIR DU NOIR ENGAGEMENT POÉSIE CONTEMPORAINE COMPATRIOTES DE L'AILLEURS POUVOIRS ET LIMITES DE LA REPRESENTATION VOIX RECOMMANDATION ACTIONS EN MILIEU SCOLAIRE PRIX DES DECOUVREURS TÊTES MOLLES ETRANGERS LYRISME RENCONTRES LECTURE BONNES FEUILLES DEUIL ENSEIGNEMENT DE LA LITTERATURE PRIX DES DÉCOUVREURS CREATION EDUCATION AILLEURS ART ENERGIE PARTAGE POUVOIRS DE LA POESIE SENS ÊTRE IDENTITE INTERDISCIPLINARITE OCCUPATION CHAMP LITTERAIRE BLA BLA BLA INCERTITUDE LIBERTE MUSIQUE ET POESIE CAHIERS PARTAGES IMAGE NATURE PAYSAGE TRAVAIL MORT RÉCÉPISSÉS CAHIERS D'ACCOMPAGNEMENT JARDIN BOULOGNE-SUR-MER DARRAS LANGUES ANIMAL TEMPS TRADUCTION COLERE CRITIQUE LITTÉRAIRE ELITISME PAROLE ; SILENCE SOLITUDE AUTHENTICITE AUTOBIOGRAPHIE GUERRE 14 VIEILLIR APOLLINAIRE BONHEUR GIONO POUVOIRS DE LA FICTION POUVOIRS ET LIMITES DE LA REPRÉSENTATION SPIRITUALITE VIE MEDIATION NOSTALGIE NÉCESSITÉ DE LA PAROLE POESIE POUVOIRS DE LA POÉSIE ROMAN ARBRE ART POÉTIQUE BAUDELAIRE BOUÉES AMERS BALISES CENDRARS CLIMATS CONDITION DU POETE IMAGES QUI NE ME LAISSENT PAS DORMIR MEMOIRE PHOTOGRAPHIE RIVALITES LITTERAIRES VOYAGE BABEL CRÉATION CURIOSITE FEMME HUMOUR ILLISIBILITÉ INTERDISCIPLINARITÉ LIBERTÉ Misère SAUVAGERIE TRANSMISSION AMOUR CONDITION DU POÈTE EAC ECOLE ET TOLERANCE EGLISES FANTAISIE INDIGNATIONS INVENTION PAROLE RACISME RESISTANCES SONNET ÉMOTION ART PRIMITIF CONDITION FEMININE CORPS COSTUME EDITION ERIC SAUTOU GRAND STADE HISTOIRE HISTOIRE LITTÉRAIRE IMAGE DE L’ÉCRIVAIN Jérôme Leroy MANTOUE MASQUES ALASKA MIGRATIONS MÉMOIRE Nord OCCUPATION CHAMP LITTÉRAIRE PICASSO POÉSIE ROMANTIQUE REVUES SENSATIONS SPECTACLE UTILITÉ DE LA POÉSIE. injustice pauvreté 2023-24 ANTHOLOGIE ART ET SOCIETE ART MODERNE ATTENTE ATTENTION AUTOBIOGEOGRAPHIE BIOGRAPHIE BLOG CALVINO CELEBRATION CHALAMOV CITTON COMIQUE COMMERE CONDITION FÉMININE COURAGE DEMOCRATISATION DISTANCE DÉSIR EFFONDREMENT ESPÉRANCE FAMILLE FOLIE FONCTION DE LA LITTERATURE GENEROSITE GENRE LITTÉRAIRE GOÛT GUERRE GUERRE RUSSO-JAPONAISE GÉRICAULT HOMMAGE IMPOSTURE LARMES LAURE GAUTHIER MARY OLIVER METAIL MOULINS MUSIQUE ET POÉSIE NEIGE O ODES PARUTION PASOLINI PAUL CELAN PETER WEISS PHRASE PLAISIR PLANTE POÈME EN PROSE POÈMES VIDEO POÉSIE PRAGUE PRINTEMPS DES POETES PROUST RECHERCHE RECONNAISSANCE REECRITURE REGARD RIVALITÉS ARTISTIQUES RÉCÉPISSÉ RÉPUTATION SAISONS SATIRE STÉPHANE BOUQUET SÉLECTION THIERRY METZ TIEPOLO VALERIE ROUZEAU VILLE VINCLAIR VIOLENCE ÉDITION ÉPOPÉE

MA LISTE DE BLOGS

  • Con piacere
    Religion, politique, "démocratie" dans la Florence républicaine
  • Inspire, ce n'est rien | Le Club de Mediapart
  • Le blog de Fabien Ribery
    Entrer au désert, par Eduardo Nave, photographe
  • Le Printemps des Poètes
  • Libr-critique
    [Chronique] Raoul Vaneigem, Retour à la base, par Christophe Esnault
  • Poezibao
    (Poesibao Hebdo) du vendredi 25 août 2023
  • Terres de femmes
    TdF sommaire du mois de juillet 2025 / N° 246

ARCHIVES DU BLOG

  • ▼  2025 (58)
    • ▼  juin (4)
      • TROIS RECOMMANDATIONS. POUR NOUS AIDER à EXISTER.
      • RENCONTRE AVEC AURELIE FOGLIA ET GREGOIRE DAMON.
      • LES NOUVEAUX PARTAGES. NAVIS ONERARIA, SUITE D'UNE...
      • MIETTES À PROPOS DE M.E.R.E. RÊVERIE-AUSCHWITZ, DE...
    • ►  mai (8)
    • ►  avril (4)
    • ►  mars (14)
    • ►  février (12)
    • ►  janvier (16)
  • ►  2024 (110)
    • ►  décembre (9)
    • ►  novembre (4)
    • ►  octobre (12)
    • ►  septembre (13)
    • ►  août (1)
    • ►  juillet (3)
    • ►  juin (12)
    • ►  mai (14)
    • ►  avril (5)
    • ►  mars (14)
    • ►  février (13)
    • ►  janvier (10)
  • ►  2023 (107)
    • ►  décembre (13)
    • ►  novembre (11)
    • ►  octobre (9)
    • ►  septembre (16)
    • ►  août (1)
    • ►  juillet (9)
    • ►  juin (11)
    • ►  mai (9)
    • ►  avril (6)
    • ►  mars (6)
    • ►  février (8)
    • ►  janvier (8)
  • ►  2022 (94)
    • ►  décembre (5)
    • ►  novembre (10)
    • ►  octobre (8)
    • ►  septembre (5)
    • ►  août (9)
    • ►  juillet (7)
    • ►  juin (7)
    • ►  mai (8)
    • ►  avril (6)
    • ►  mars (8)
    • ►  février (8)
    • ►  janvier (13)
  • ►  2021 (125)
    • ►  décembre (10)
    • ►  novembre (12)
    • ►  octobre (18)
    • ►  septembre (9)
    • ►  août (2)
    • ►  juillet (4)
    • ►  juin (8)
    • ►  mai (10)
    • ►  avril (20)
    • ►  mars (12)
    • ►  février (11)
    • ►  janvier (9)
  • ►  2020 (107)
    • ►  décembre (6)
    • ►  novembre (13)
    • ►  octobre (1)
    • ►  septembre (11)
    • ►  août (3)
    • ►  juillet (5)
    • ►  juin (11)
    • ►  mai (12)
    • ►  avril (16)
    • ►  mars (12)
    • ►  février (7)
    • ►  janvier (10)
  • ►  2019 (65)
    • ►  décembre (9)
    • ►  novembre (10)
    • ►  octobre (3)
    • ►  septembre (6)
    • ►  août (7)
    • ►  juillet (6)
    • ►  juin (7)
    • ►  mai (1)
    • ►  avril (3)
    • ►  mars (4)
    • ►  février (5)
    • ►  janvier (4)
  • ►  2018 (48)
    • ►  décembre (2)
    • ►  novembre (8)
    • ►  octobre (4)
    • ►  septembre (5)
    • ►  août (3)
    • ►  juillet (5)
    • ►  juin (8)
    • ►  mai (4)
    • ►  mars (5)
    • ►  février (2)
    • ►  janvier (2)
  • ►  2017 (56)
    • ►  décembre (3)
    • ►  novembre (8)
    • ►  octobre (3)
    • ►  septembre (5)
    • ►  août (3)
    • ►  juillet (3)
    • ►  juin (8)
    • ►  mai (5)
    • ►  avril (4)
    • ►  mars (6)
    • ►  février (5)
    • ►  janvier (3)
  • ►  2016 (49)
    • ►  décembre (5)
    • ►  novembre (6)
    • ►  octobre (1)
    • ►  septembre (2)
    • ►  août (2)
    • ►  juillet (1)
    • ►  juin (5)
    • ►  mai (7)
    • ►  avril (1)
    • ►  mars (6)
    • ►  février (4)
    • ►  janvier (9)
  • ►  2015 (14)
    • ►  décembre (5)
    • ►  novembre (9)
Thème Simple. Images de thèmes de Gaussian_Blur. Fourni par Blogger.