Je découvre ce matin sur Facebook ce poème inédit de Denise Le Dantec qui mérite bien d'être partagé sur un autre media et d'être offert surtout à ces jeunes et à leurs professeurs auxquels ce blog est plus particulièrement destiné. Pour stimuler leur réflexion sur ce genre si délicat à aborder qu'est la poésie qui meurt effectivement dès qu'elle n'est plus considérée que comme un simple objet culturel.
J'accompagne ce texte, en guise de clin d'oeil à l'amateur de jardins qu'est Denise, d'un fragment de tableau du peintre Brusselmans.
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