Affichage des articles dont le libellé est OUVERTURE. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est OUVERTURE. Afficher tous les articles

dimanche 8 mai 2016

ENCORE UNE BABEL PARFAITEMENT RÉUSSIE, AU CHANNEL, AVEC LES ÉLÈVES DU LYCÉE BERTHELOT DE CALAIS !

BABEL BERTHELOT AVEC RYOKO SEKIGUCHI


Une superbe Babel encore cette année avec les élèves du lycée Berthelot ! Construite grâce à l’aide financière votée par l’ancien Conseil Régional du Nord-Pas-de-Calais, autour de la présence lumineuse de la grande poétesse et traductrice japonaise Ryoko Sekiguchi, dans la magnifique salle du Passager, comble pour l’occasion, c’est près d’une centaine d’élèves qu‘elle a rassemblée sur le plateau pour y lire et interpréter des poèmes écrits par les plus grands auteurs de l’Antiquité à nos jours.

Si bien entendu certains se sont montrés encore intimidés par le fait de venir ainsi se présenter sur scène, beaucoup, en revanche ont manifesté de belles qualités comme en aura tout particulièrement témoigné, je pense, aux yeux de tous, la remarquable mise en musique et en voix du célèbre texte de Baudelaire Anywhere out of the world, totalement élaborée par un groupe d’élèves de l’option musique.


De telles manifestations dont on aimerait qu’elles soient plus largement répandues dans tous les établissements de France sont de celles qui nous paraissent les plus à même de redonner vraiment le goût de la poésie à cette jeunesse qui place – c’est son âge -  l’émotion et le partage loin devant les nécessités de l’analyse et du commentaire. Ce qui ne l’empêche pas de réussir dans ses études. Les excellents résultats des élèves du lycée Berthelot de Calais qui mène depuis longtemps une politique d’ouverture culturelle et de rencontres parmi les plus dynamiques à coup sûr de l’Académie en sont la preuve. 


mercredi 4 mai 2016

POUR BABEL ! DU PAIN DES LANGUES ET DES OISEAUX. PARTAGER NOS DIFFÉRENCES !

FRANZ SNYDERS CONCERT D'OISEAUX vers 1635
   
Ce texte est dédié aux élèves du lycée Henri Wallon de Valenciennes que j’ai pu rencontrer à l’occasion de la mise en place de leur première Babel Heureuse !

Babel. Babylone. Babil. Il existerait dans le monde 9000 espèces d’oiseaux. Sans doute aussi, nous dit-on, un nombre presque aussi important de langues. On sait ce qui attend l’ensemble des espèces animales  du fait de ce que les scientifiques n’hésitent plus aujourd’hui à appeler la sixième extinction massive. En revanche sait-on que notre siècle risque également de voir à jamais disparaître des milliers de ces systèmes intelligents et chaque fois singuliers d’invention de la réalité qu’utilisent les hommes pour produire et communiquer leur pensée tout en marquant leur appartenance à une communauté déterminée. 


Si chacun parlait la même langue tout irait-il vraiment mieux dans le monde ? 

jeudi 3 mars 2016

MULTIPLIER LES RENCONTRES. UNE NÉCESSITÉ !

Oui. Je crois de plus en plus à l’importance des rencontres. Notamment en milieu scolaire où il me semble nécessaire de faire comprendre que l’engagement dans l’écriture – principalement poétique - n’a rien d’un jeu factice ou intellectuel mais se trouve indissociablement lié à une affirmation vitale, un besoin aussi de comprendre et de saisir le monde. D’élargir ses horizons. De repousser les limites des représentations qui enferment. Et de trouver la bonne distance par rapport au langage, instrument d’être et de pensée.
Plutôt que de rendre compte de façon factuelle des nombreuses interventions que je viens d’effectuer ou d’accompagner dans divers établissements il m’a paru opportun de redonner ici le texte d’un long entretien que m’a proposé il y a quelques temps Florence Trocmé pour POEZIBAO. Car il importe de fournir à tous ceux qui comme nous s’y impliquent réellement, des fondements réflexifs qui légitiment de plus en plus ces pratiques que certains voudraient continuer à réduire à l’anecdotique, à enfermer dans de simples séances d’animation ne nécessitant aucun investissement réel. Aucune préparation.

Florence Trocmé : Georges Guillain, vous êtes à l’origine d’un prix centré sur la poésie qui a cette particularité d’être décerné par un jury de lycéens. Pouvez-vous nous parler de ce Prix des Découvreurs, nous en redire la genèse, l’idée qui a présidé à sa conception.

Georges Guillain :
Chère Florence, oui. Le Prix des Découvreurs aura bientôt 20 ans. Et touche désormais chaque année quelques milliers de lycéens mais aussi de collégiens de troisième, de Dunkerque à Yaoundé ! Plutôt d'ailleurs que d'idée, je préfère parler de sentiment. Tant au départ, ce qui m'aura guidé et dont je n'ai maintenant qu'un souvenir assez vague, devait sûrement être assez différent des raisons qui aujourd'hui m'encouragent à désirer toujours prolonger et surtout élargir de plus en plus l'aventure. Le Prix des Découvreurs a commencé, en 1996, par un courrier que m'aura adressé l'adjoint à la Culture de la Ville de Boulogne-sur-Mer qui me sachant poète me demandait de réfléchir avec lui à la façon de relancer un Prix de Poésie jadis décerné par la ville et tombé, à juste titre, en désuétude.

"La littérature ne peut plus être considérée que comme objet de culture, renvoyant nécessairement à des vocabulaires datés. Des formes un peu figées. Coupées des ressources nouvelles d'époque. "

samedi 27 février 2016

POUR UNE POÉSIE RÉELLEMENT ENGAGÉE ! CLIMATS DE LAURENT GRISEL.

Non la Terre ne fut pas toujours bleue. Ni toujours habitable. Vieille de plus de 4,5 milliards d’années, notre planète perdue dans l’immensité proprement sidérante de l’univers visible, change constamment de visage, souffle le chaud et le froid, fut orangée comme Titan, blanche comme Encelade. Dépendant de facteurs essentiels tels l’augmentation de la luminosité du Soleil, la tectonique des plaques, les modifications orbitales, son climat possède une histoire complexe et la vie qu’il a rendue pour nous possible résulte d’équilibres chimiques précaires que notre espèce, par son nombre d’abord, par ses choix particuliers de développement ensuite, est en train de menacer.

C’est à la demande de la MEL et de sa Présidente, la romancière Cécile Wajsbrot, que Laurent Grisel a entrepris de se saisir de la question climatique pour alerter à sa manière le public sur les risques que notre insensibilité aux perturbations que nous infligeons à la nature fait courir à l’ensemble de l’humanité. Et c’est la force actuelle de notre poésie que de lui permettre de prendre aujourd’hui la parole pour produire un texte singulier, engagé, surprenant, dont la précision de la documentation, l’ouverture informée au réel ou plutôt à ses multiples composantes, n’altèrent pas l’impact. Ni le retentissement.

Loin du sentimentalisme vaporeux et de l’hermétisme savant



samedi 13 février 2016

EXPLORATION DE LA VISIBILITÉ


Tête de Telamon, Agrigente
Les éditions Flammarion viennent de sortir le dernier ouvrage consacré par le poète Nicolas Pesquès à  La Face Nord de Juliau à laquelle il semble avoir maintenant consacré la quasi totalité de sa vie littéraire.
Je ne pense pas totalement inutile de redonner dans ce blog l’article que j’ai consacré il y a quelques années dans la Quinzaine Littéraire aux volumes 5 et 6 de cette singulière et magnifique entreprise.


Vigoureusement calé sur sa colline ardéchoise, le travail de Nicolas Pesquès qui fait paraître chez André Dimanche les volumes 5 et 6 de la Face nord de Juliau, se présente comme le récit particulier d’une exploration entamée depuis plus de 20 ans, non de la chose vue, voire d’un paysage fuyant en constante métamorphose mais de ce qu’appelait si bien Maurice Merleau-Ponty dans son dernier grand ouvrage l’Oeil et l’Esprit, un circuit : le circuit ouvert du corps voyant au corps visible.

A l’origine, peut-être, comme la tentative d’épuisement d’un lieu particulier : une modeste colline rêche, râpeuse, couverte de buis, de genêts, de genévriers, à laquelle le regard se trouve quotidiennement confronté. Une colline où sur l’autre face, au sud, aura vécu et écrit en son temps le poète Jacques Dupin auquel Nicolas Pesquès a d’ailleurs consacré en 1994, chez Fourbis, un bel ouvrage écrit dans l’amitié de la voix.

dimanche 24 janvier 2016

IMMENSITÉ DES PLUS HUMBLES MATIÈRES !

JARDIN DE MOUSSES KYOTO
De retour d’une rencontre avec des élèves d’une classe de premières du lycée Berthelot de Calais je voudrais leur dédier ce billet que j’ai consacré il y a deux ou trois ans déjà à l’ouvrage de Véronique Brindeau, Louanges des mousses.

Il y a un usage du monde qui permet chaque jour de l'inventer davantage. Les vrais livres, nés d'une connivence profonde avec les choses de la vie et capables d'exprimer avec une même profondeur, la jouissance, l'émotion mais aussi la sagesse que son auteur en a retirées, nous éclairent ainsi de fenêtres nouvelles. Diffusant leur lumière, avec plus ou moins d'éclat. Et de retentissement. Louange des mousses de Véronique Brindeau appartient à la catégorie des ouvrages discrets, modestes mais dont la découverte ouvre paradoxalement sur des horizons de pensée vastes. Sinon illimités. Ce qui n'est pas sans rappeler les propos de Witold Gombrowicz dans Cosmos, "J'ai dû, vous le comprenez, recourir toujours davantage à de tout petits plaisirs, presque invisibles. Vous n'avez pas idée combien, avec ces petits détails, on devient immense, c'est incroyable comme on grandit".


Nous ne disposons pour distinguer les quelques trois cents variétés de mousse que de trois mots !

mardi 12 janvier 2016

L’INDICIPLINE DE L’EAU. JACQUES DARRAS.



C’est avec le plus grand plaisir que nous saluons aujourd’hui la sortie dans la collection Poésie / Gallimard de l’anthologie personnelle de Jacques Darras, L’indiscipline de l’eau.

Ce volume dont nous avons rédigé la Préface, paraît à l’occasion du cinquantième anniversaire de cette prestigieuse collection qui avec ses plus de cinq cents titres publiés, pris à l’ensemble des littératures du monde, s’attache à mettre en résonance les poèmes d’aujourd’hui avec ceux de tous les siècles passés.

Nul doute que la poésie « illimitée » de Jacques Darras n’ait sa place au sein d’une telle entreprise.

Comme nous le rappelons dans notre préface, « le propre de la poésie pour Jacques Darras, n'est pas de définir les contours de Vérités arrêtées. Assénées. Le propre de la poésie pour lui est de lier. D'ouvrir. D'embrayer les organes moteurs du vers à la façon, pourquoi pas, des méta-mécaniques de Tinguely, pour nous mettre tout entier, corps et esprit, en mouvement. La poésie, comme il le dit dans sa Transfiguration d'Anvers , est par excellence l'art de la proximité et de l'inachèvement. Proximité avec la totalité toujours plus à explorer de l'Univers. Et du spectacle des bulles s'élevant à l'intérieur d'un verre de Champagne qui peut ramener aux profondeurs géologiques des temps où les plaines de la Marne, de l'Aube et bien sûr de la Vesle étaient encore recouvertes par la mer, jusqu'à celui des étoiles qui parlent de ces milliards et milliards de galaxies qui composent aujourd'hui notre ciel, certes, elles ne manquent pas les provocations qu'adresse la réalité, heureusement, à nos imaginaires. Car, nous le redit à chaque ligne toute l'œuvre de Jacques Darras, le caractère inachevé, dérisoire peut-être aussi, de notre propre construction humaine ne doit pas nous désespérer. Mais être considéré avant tout comme une chance. Puisque c'est de là que s'éprouve la vie. La possibilité pour elle de se nouer amoureusement, dynamiquement à l'autre. De relancer incessamment les images1. Par quoi "prennent forme les poèmes, les voyages, les projets proportionnés aux dimensions […] de l'univers".

Note : En cela Jacques Darras se montre d’ailleurs très proche de ce que nous avons évoqué dans l’un de nos tout derniers billets à propos du Noé  de Giono
Voir aussi notre document à télécharger


lundi 11 janvier 2016

DE L’AIR ! DE L’AIR ! DE L’AIR ! AVEC OUF DE LAURENCE VIELLE.

VALLOTTON
FELIX VALLOTTON LE BALLON 1899





Oui. Il y a quelque chose. Il y a vraiment quelque chose dans les poèmes et dans la façon surtout qu’elle a de les dire, de la comédienne et poète belge Laurence Vielle. Une dynamique de la parole accrochée à la vie ou de la vie accrochée à la parole y rejoint une part de notre laborieuse humanité en route sur la terre, s’émerveillant, dénonçant, s’essoufflant, repartant... pour emporter le lecteur/auditeur/spectateur loin loin loin, dans ce qu’il a pourtant de plus proche et le touche au plus profond.

Parente à certains égards de celle toujours renouvelée, libre et joueuse d’un Prévert, la poésie de Laurence Vielle n’a rien d’intellectuel. De philosophique. Encore moins d’hermétique. Si elle est travaillée, ce n’est pas dans le sens d’une complication métaphorique ou de la recherche d’une certaine originalité d’images ou de vocabulaire. D’un retardement voire d’une suspension de sens. Elle surgit au contraire, tout entière d’allant et d’évidence. Pour coller à la vie ordinaire dont elle mélange les histoires sans jamais les enfermer dans leurs pseudos vérités naturalistes.

lundi 16 novembre 2015

ÉMIR ABDELKADER. POUR QUI LE VEUT CORAN. POUR QUI LE VEUT GUINGUETTE !

Portrait d'Abd el-Kader par Jean-Baptiste-Ange Tissier, 1852, musée de Versailles.
Que peuvent les mots des poètes face aux kalachnikovs ? Je ne sais plus trop ce qu’écrivait Jean-Paul Sartre à propos de cette question abordée par lui dans Le Monde du 18 avril 1964. Et je suis bien certain que les plus beaux poèmes du monde n’ont pas vocation à servir de gilet pare-balles à ceux que la violence déchaînée des hommes a malheureusement placés dans son funeste viseur.
De là à en inférer l’inutilité de l’art ou son impuissance face à ces terribles « architectes de la sensibilité », comme les appelle Don De Lillo dans Mao 2 que sont ceux qui entendent, par la radicalité de leurs actes accomplir la parole de Dieu, venger leurs propres martyrs ou hâter la venue de tel ou tel régime qu’ils voudraient imposer à tous, le pas est large qu’il importe surtout de ne jamais franchir.

L’art, s’il n’est pas propagande, ce qui lui arrive parfois, est l’anti-barbarie par excellence


vendredi 6 novembre 2015

DE L’OCCUPATION DU CHAMP LITTÉRAIRE. L’EXEMPLE DE LA RELATION HUGO – SAINTE-BEUVE.


Il y a quelques années j’ai accepté à la demande de l’Association Ça-et-Là de tenir, dans le cadre de son Festival Sainte-Beuve (BSB), le rôle de Victor Hugo dans la reconstitution publique - qui devait être improvisée – d’une séance du Cénacle sensée se tenir entre lui, Victor Pavie et Sainte-Beuve à la fin des années 1820.
Cette manifestation se déroulant à Boulogne-sur-Mer, ville natale de Sainte-Beuve devait bien entendu servir les intérêts de notre grand critique national. Relisant dernièrement l’entretien que j’avais à l’époque rédigé pour les organisateurs en témoignage de cette manifestation, il m’a semblé qu’il pouvait toujours intéresser les lecteurs de ce blog par ce qu’il dit par exemple de l’engagement des poètes et de leur manière d’occuper le champ de la création.

BSB : Georges Guillain, vous avez tenu le rôle de Victor Hugo lors de la soirée inaugurale des Journées de la critique où  était évoquée l’atmosphère du fameux Cénacle qui réunissait chez Hugo les poètes romantiques de la fin des années 1820. Qu’avez-vous pensé de cette expérience ?

G.G. : Intéressante. Mais c’est trop dire que j’ai tenu ce rôle. En fait j’ai un peu l’impression d’être tombé dans un double traquenard. Comédien d’un soir, je devais improviser face à de véritables comédiens qui eux venaient lire leur texte. Non spécialiste de Hugo, je devais réagir comme si j’étais lui. Au début je me suis senti un peu mal en me demandant comment j’allais m’en sortir et effectivement j’ai commencé à parler à la troisième personne, un peu comme si je faisais cours. Mais j’ai écouté mes voix intérieures ( !) qui m’ont conseillé de me lâcher et alors j’ai vraiment commencé à m’amuser comme un fou car j’ai pris conscience aussi qu’en en en faisant parfois des tonnes je correspondais assez bien à l’image que la manifestation voulait donner de mon personnage : le méchant Hugo tout gonflé de lui-même et de son génie face à un Sainte-Beuve chlorotique certes mais infiniment lucide. La pauvre petite fleur des champs. Le garçon réfléchi et modeste.

BSB : C’est comme ça vous voyez ces deux auteurs ?

G.G. : Non.

BSB : Vous pouvez en dire plus ?

G.G. : Oui.

BSB : Mais encore.

mercredi 4 novembre 2015

MOI AUSSI D'ARIANE DREYFUS.

ARIANE DREYFUS
Ludovic Degroote vient de consacrer une belle note de lecture à l'ouvrage d'Ariane Dreyfus que nous avons très récemment publié à l'intention toute particulière - quoique non exclusive - du public scolaire.
On peut la consulter sur le site de Florence Trocmé, POEZIBAO.

Voici le début de cette note : 
Emprunté à un vers de Guillevic, le titre, Moi aussi, invite le lecteur à entrer dans ce livre à la couverture rouge vif, adjectifs et couleur qui siéent à l’auteur, parce qu’elle ne cesse de dire la vie, le corps, mais aussi parce que ce rouge est une couleur de conte, celle du Petit Chaperon Rouge évoqué en exergue, dont le personnage est rapproché du poète car " ce qu’il répond surgit du plus profond de nous". 


Signalons également la présentation attentive de cet ouvrage et de notre entreprise qu'a effectuée Claude Vercey dans son très actif magazine numérique.

dimanche 1 novembre 2015

PROPOSITIONS DE RENTREE


Prenant la suite du 

LES DÉCOUVREURS 2  

continuent d’accompagner les enseignants dans leur recherche d’actions originales, créatrices à la fois de sens et de valeurs, autour de la littérature vivante.




Prix des Découvreurs 2015-2016


Il s’ouvre largement à l’international avec les ouvrages, en édition bilingue, d’un poète chinois et d’une poète irlandaise. Signalons aussi celui d’une poète syrienne, Fadwa Souleimane qui réfugiée en France tente de mettre des mots sur l'expérience profonde qu'elle a du conflit qui ensanglante son pays depuis de nombreuses années.
Le Dossier comprenant d'importants extraits et de nombreuses illustrations peut être téléchargé directement en quelques minutes
Ils offrent de nombreuses possibilités d’exploitation dans les classes même pour celles qui ne participeraient pas à l’ensemble de l’opération.

Découvrir un poète contemporain :